Ce site est réalisé en PHP/mySQL et vous propose à ce jour 37818 photographies, couvrant 3079 espèces. Oui, oui: vous avez bien lu... plusieurs dizaines de milliers d'images...

Si vous êtes à la recherche d'un bon hébergeur, pas cher, capable de vous offrir un espace de stockage illimité ne cherchez pas plus loin: voyez WebHostingHub.

Leur infrastructure est solide, leur équipe technique en béton. Et ils proposent VRAIMENT un stockage disque illimité (parmi d'autres choses). Parler et lire l'anglais est recommandé, évidemment...

Et leurs offres commencent à 5$ par mois (Janvier 2019)...


Toutes les photographies présentées ici ont été prises par moi-même avec un appareil photo numérique.

Avec, par ordre d'apparition à l'écran ;-)

De 1999 jusqu'au 30 Mai 2001, avec un Epson PhotoPC 700 voir ci-contre.

Mon premier numérique. Ce n'était certainement pas l'appareil idéal pour la macrophotographie de haute qualité, mais il était léger, compact, rapide à mettre en oeuvre, et comme tout numérique (passé le coût initial, bien sûr) ne coûtait rien à l'usage (pas de pellicules, pas de développements, pas de retirages). C'est ce dernier aspect qui m'a fait renouer avec la photo. J'avais autrefois pratiqué l'argentique avec ardeur, mais cessé depuis pour des questions de coût...

Les photos produites par le PC700 étaient d'une qualité tolérable en dépit de la quasi-absence de réglages.


Mai 2001 : C'est un Casio QV2800UX qui a pris la suite, et je dois dire qu'il y avait autant de différence entre cet appareil et le précédent, qu'entre un 24x36 reflex et un pocket 110...

Vous pourrez trouver les spécifications techniques ici si vous le souhaitez (anciennes pages que j'ai enregistrées pour cet usage, l'appareil n'étant plus commercialisé, les pages techniques le concernant ont pour la plupart disparu).

C'était un excellent appareil, dans le cadre de l'utilisation que j'en ai fait. Il a changé de propriétaire et fonctionné plusieurs années par la suite...

Une remarque: J'ai pu lire que dans beaucoup d'articles critiques on considérait l'absence de viseur optique comme un défaut. Et je l'ai souvent entendu dire sur le terrain.

Je ne suis pas de cet avis: l'écran LCD pallie de manière adéquate à l'absence de viseur optique, et permet SURTOUT des cadrages voire même des photos irréalisables quand on a l'oeil rivé au viseur. Mettez vous à plat-ventre dans une tourbière pour tirer le portrait d'une Drosera, vous comprendrez mon point de vue...

Toutefois je peux comprendre qu'un photographe "élévé au reflex argentique" puisse voir les chose d'un autre oeil si l'on peut dire !


Decembre 2004 : nouvel appareil de type "bridge", c'est toujours un excellent compromis pour mon usage.

A cette date, le reflex numérique reste encore trop cher (pour qui n'a pas déjà la panoplie d'objectifs qui vont bien) et sur le terrain présente deux inconvénients majeurs:

  • En photo de nature il n'est pas toujours possible de se mettre à plat ventre pour être au niveau de son sujet et l'avoir dans le viseur. L'écran de visée reste donc à mon sens totalement indispensable.
  • Le reflex présente l'avantage de pouvoir changer d'optique, et c'est aussi un énorme risque sur le terrain, tant pour les optiques que pour le boitier: risque de voir rentrer poussières, pollen, eau... Allez sur les forums dédiés au reflex numériques et voyez le nombre de posts dédiés aux problèmes de puissières et de nettoyage du capteur...

 


Aout 2006, retour au reflex avec l'Olympus E330.

ENFIN un constructeur qui m'a entendu ! Le premier reflex avec écran de visée et système de nettoyage automatique du capteur...
Cette fois le reflex numérique m'intéresse !

C'est un appareil qui est assez peu conventionnel pour un reflex, car il brise de nombreuses habitudes: visée possible à la fois par viseur optique TTL classique et sur écran LCD, capteur "exotique" et objectfs spéciaux au format 4/3.
Dommage quand même que l'écran ne pivote pas dans toutes les directions à la façon du 5060...

Peu importe: il m'a convaincu, et je trouve sa prise en main et son utilisation tout à fait naturelles.

Autre changement majeur: j'abandonne le JPG pour le format raw dans l'appareil photo.

J'ai mis longtemps à en être convaincu, mais la conversion et la compression en JPEG dans l'appareil photo se font au détriment de la qualité de l'image, autant sur le plan de la netteté que sur celui de la couleur.

Un exemple pour les couleurs, avec à gauche le jpg à droit le raw. Il s'agit du même déclenchement, l'appareil ayant sauvegardé l'image simultanément dans les deux formats. On se contentera de dire que l'image parle d'elle même...

Autre exemple pour la finesse des détails, toujours le jpeg à gauche et le raw à droite.

En y réfléchissant: comment peut-on croire qu'un appareil photo, vu la capacité de calcul et de mémoire dont il dispose, pourrait faire un travail comparable à ce que fait un PC de bureau équipé du programme adéquat ?
C'est un peu comme comparer une calculette à un PC équipé d'un tableur...

Le seul inconvenient du format RAW, c'est la taille des fichiers: 13Mo par image avec mon capteur de 7.5 Mpixels. Oups...

La balance des blancs est assurée si nécessaire par l'utilisation d'une Whibal. Un bien belle invention que ce truc là !

Le développement des photos (car c'est bien de celà qu'il s'agit) est assuré sur le PC par Rawshooter Essentials.
(Application gratuite mais qui a fini par disparaitre suite au rachat du produit par Adobe dans l'optique d'en faire la base de son Lightroom).
Ce programme rend simple un processus qui peut paraître au départ un peu complexe.

MAJ 11/2007: Depuis la mise à disposition des version betas de Lightroom, je me suis progressivement laissé convaincre jusqu'à l'acheter. Un peu complexe au début, mais tellement complet. Il s'agit d'une première: une suite logicielle conçue pour et avec l'avis des photographes. Ce logiciel a de l'avenir...


Mon premier objectif, acheté avec l'appareil est un 35mm Macro f3.5 Zuiko Digital.

Coût abordable, rapport macro 1:1, assez lumineux, un excellent objectif au regard de son prix. le rendu des images est un peu trop "chaud", mais rien de dramatique. Il m'a donné entière satisfaction pendant quelque temps, puis je l'ai revendu en 2007. Voir ci-dessous.

Janvier 2007 : Mon second objectif est un Zoom Vivitar, mais pour celui là il y a une histoire intéressante.

Comme j'ai aussi envie faire des photos d'oiseaux, d'animaux sauvages etc. je me suis dit "Mon garcon, il te faut un téléobjectif".
Me voilà donc parti chez Olympus, et là, pas de problème, je trouve ce que je cherche, des télés, des zooms, tout ce qu'il faut.
Je procède à une petite étude de prix... heureusement j'étais assis... Compter entre 1000 et 6000 € environ pour un zoom ou un téléobjectif de 200mm et plus.

N'ayant pas l'intention d'hériter prochainement, je me suis mis à la recherche d'une alternative me permettant de préserver mon capital épidermique fessier.

Après quelques recherches sur internet, je suis tombé sur une bande de joyeux félés qui s'amusent à monter sur des boitiers modernes des objectifs qui le sont moins. Des Leicas, des Vivitars et d'autres...
Il suffit de se procurer un adaptateur: 100€ chez Olympus, le mien 1$ sur ebay (non ce n'est pas une faute de frappe, même avec les frais de port, il n'y a pas photo...) et de retrouver les habitudes d'antan (mise au point et exposition en manuel).

MAJ 03/2008: sur ebay, on peut trouver la plupart des adapteurs pour une trentaine de dollars. Aujourd'hui je peux monter sur mon boitier des optiques M42/vis, Olympus OM, Nikon, Leica, et Minolta MD. Bel éventail de possibilités...

Restait à trouver un objectif. Compte tenu du fait que sur une monture 4/3 la focale est multipliée par deux, la résolution est divisée elle aussi par deux.
Même si les problèmes de de vignettage et de perte de qualité en périphérie d'image sont minimisés par le fait que seule la partie centrale des lentilles, en général la meilleure, est utilisée par le capteur, il faut donc se restreindre à n'utiliser que des objectifs de qualité exceptionnelle.
Objectifs que l'on trouve parfois sur internet pour des sommes dérisoires...

La encore, après un temps certain passé en recherches sur internet, mon choix s'est porté sur un objectif qualifié par certains de "mythique" et par d'autres de "cult classic". Un Vivitar Series One 70-210 f3.5 Macro fabriqué par Kiron en .... 1979.
Comprenons nous bien: je ne doute absolument pas que le Zuiko digital 50-200mm soit une excellente optique ... si on a les moyens. Mon Vivitar m'a juste coûté 5 fois moins cher...
Et il y a quelque chose de curieusement satisfaisant à utiliser une optique vieille de 30 ans et de ce dire qu'elle tient toujours tête aux objectifs modernes.

Juin 2007: Une fois le virus installé, c'est difficile de s'arrêter, la plupart des photographes le savent.

Le tout est de s'acheter un objectif pour faire des photos et pas de s'acheter un objectif pour en avoir un de plus...

J'ai donc attendu assez longtemps avant de procéder à mon acquisition suivante, parcouru pas mal de forums, réfléchi...
... et craqué quand même ! Pour le machin ci-contre.

Helios 40-2, 85mm ouverture maximale f1.5, pesant pas loin d'un kilo... mais quel plaisir à utiliser ! Les images sont d'une finesse surprenante (voyez ceci et ceci) et le bokeh, tout simplement extraordinaire...

...et il est même "stabilisé" (essayez un peu de trembler avec un objectif de 1 kg !!!!)

On en dit beaucoup de bien un peu partout sur internet, et ça doit être vrai, ou au moins cru: le prix moyen est monté de plus de 150 € depuis que j'ai acheté le mien !

Janvier 2008 : La suite c'est un téléobjectif pour la photo animalière dans des conditions acceptables.
Mon choix s'est porté sur un Leica ancienne génération, un Tely-R 250mm F4

Leica à une réputation indiscutable, tant pour la qualité d'image que pour le prix (urgh...).

Pour la qualité d'image, ce n'est pas usurpé. Voir ceci et ceci
Pour le prix, Ebay fait ça très bien ! 150 euros. Plus que raisonnable pour ce genre de focale.
250mm c'est une focale encore suffisamment courte pour être utilisée à main levée, ou mieux avec un monopode, mais assez longue pour beaucoup de situations, en particulier avec le coefficient 2x des boitiers 4/3.

Mars 2008 : LE macro ! Vivitar/Kiron 105mm F2.5
En faisant quelques recherches pour voir si par hasard il ne se trouverait pas quelques beaux cailloux dans les anciens objectifs qu'on trouve d'occasion, j'ai été surpris de trouver de nombreux sites vantant les qualités insurpassées d'un objectif macro: un 105/2.5 fabriqué par... Kiron (tiens tiens...) et vendu sous différentes marques (Kiron, Vivitar, Lester Dine).
Au dire des afficionnados (avec probablement quelques exagérations, quoique...) cet objectif tient tête même aux prestigieux micro-nikkors...
Même avec un peu d'exagération, à 60 euros sur ebay, on ne peut pas se tromper, non ?
Et il semble que la bête soit à la hauteur de sa légende. Voir ceci et ceci


Octobre 2008 : Changement.
Et pas qu'un peu: le E330 (dont j'étais fort content) est remplacé par un E3.
La barre est placée plus haut, et sur tous les plans: boitier tropicalisé, capteur 10 mégapixels stabilisé (même avec les vieilles optiques manuelles), écran LCD multiorientable avec Live-View, et un viseur d'une clarté extraordinaire.
Pour aller avec et retrouver le confort de l'autofocus et de la visée à pleine ouverture, nécessaires dans certaines circonstances, un Sigma 150mm APO macro dont on dit beaucoup de bien.
Et le développement est désormais confié à Lightroom, exclusivement en Raw.

A vous de juger sur les photos !

Octobre 2012 : Changement dans la continuité.
Le E3 est remplacé par un E5.
Ceux qui disent que ce n'est pas un grand changement, eh ben... ils n'y connaissent rien ! J'ai utilisé les deux et c'est le jour et la nuit: qualité d'image, précision de l'autofocus, ergonomie... tout est amélioré !

A vous de juger une fois de plus, sur les photos !

Juin 2014 Un peu en avance sur mon rythme habituel d’évolution (je garde un boitier au moins deux ans, souvent plus, ce qui laisse le temps aux constructeurs de proposer de véritables évolutions, en particulier chez ceux qui sortent un boitier tous les deux mois, suivez mon regard…) j’ai fait l’acquisition d’un nouveau boitier.
Cette fois ce n’est pas une évolution, mais une révolution ! Adieu le reflex, bonjour l’hybride/mirrorless. En cela je ne fais que suivre l’évolution des ingénieurs d’Olympus : au lieu de sortir un E7 reflex ET un nouvel hybride pour remplacer le EM5, ils n’ont sorti qu’un boitier pour remplacer les deux : Le EM1.
Pour l'accompagner, j'ai choisi un 60mm macro. Petit, léger, étanche, et excellent sur le plan de la qualité.
Quand je dis petit...

  En parlant de taille, d'ailleurs...Comment dire ?
Sans entrer dans un débat qui n’a ni sens ni intérêt, je pense simplement qu’à l’exception d’une (très petite) minorité de spécialistes et de professionnels, il n’y aujourd’hui plus aucune raison d’avoir un reflex…
Rangez ce fusil et laissez-moi finir...
- Vous avez absolument besoin de faire des photos dans le noir ?
- Vous trouvez que le tirage A2 c’est un peu juste ?
- Vous travaillez devant vos clients qui ne vous prendront pas au sérieux si vous travaillez avec un boitier de moins de 2kg ?
- Vous avez régulièrement besoin d’utiliser votre matériel photo comme massue ou pour enfoncer une porte ?
Alors oui, dans votre cas, un reflex Full Frame peut encore se justifier. Pour tous les autres…


Mais parlons du EM1. La première chose qui surprend, c’est le physique : moins de 450gr, moins de 13cm dans sa plus grande dimension… Et une quantité de boutons qui n’est pas sans rappeler une crise d’acné (14 boutons personnalisables quand même… et un levier qui permet de gérer deux actions avec chacun, donc 28 !!!!) Ergonomie superbe toutefois : tout cela vient très bien en main et les boutons sont toujours là où les doigts les cherchent.
Même équipé d’un objectif (c’est quand même plus pratique) on est loin des KILOS d’un canon ou d’un Nikon équipé de la même focale. Si vous faites autre chose que de la photo de studio, c’est inestimable, vos cervicales, comme vos lombaires, vous le confirmeront !
La seconde chose qui frappe c’est le viseur électronique et sa qualité. Disons-le tout net : il n’est pas aussi bon qu’un viseur optique de réflex, même si la qualité de ses images est plus que suffisante pour juger de la mise au point en macro (ce qui est un usage exigeant). Par contre tout ce qu’il apporte en termes d’affichage le rend de fait supérieur aux viseurs optiques.
D'ailleurs c'est simple: 4 ans plus tard, le EM1 est toujours mon seul boitier et je ne compte pas en changer tout de suite...

Janvier 2016 Le 60mm étant quand même une focale ne convenant pas à tous les sujets, je décide de revendre tous mes autres objectifs et d'acheter une longue focale...
Après de longues recherches mon choix se portera sur le ZUIKO 40-150mm f2.8 pro et son multiplicateur 1.4x.

Un 14-54mm Lumix acheté un bon prix sur Ebay viendra compléter la panoplie dans les courtes focales.
Avec ça, dans un petit sac en bandoulière, j'ai une fourchette de focale couvrant l'équivalent 24x36 de 28mm à 420mm !
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